Association GSDS Parents, Enfants, Adolescents

GSDS, Une Association

 

Lien vers les statuts ICI

Nous sommes parents, Enfants, adolescents, jeunes adultes, ou plus âgés concernés de près par cette particularité, qui nous suit la vie durant. Nous accueillons aussi les accompagnants, et les professionnels de santé, les juristes et éducateurs, désireux de contribuer aux buts de cette association.

Notre association a pour objet de favoriser le traitement précoce de la Dysphorie de Sexuation, comme une particularité liée à la sexuation fœtale du cerveau.

Nous avons pour but d'accueillir les parents et les enfants concernés, adolescents et jeunes adultes.

Notre tâche est de tenter d'informer, efficacement, les familles, les généralistes, les pédiatres, le système éducatif, les autorités, sur les réalités de la sexuation dysphorique.

Nous demandons en premier lieu, la mise en place d'un protocole particulier aux enfants et adolescents, comme cela se fait par exemple aux Pays-Bas, de favoriser la mise en place médicale, en centre de référence, d'équipes d'endocrinologie de l'enfant et de l'adolescent, de pédopsychiatres et de psychologues, spécialement formés pour diagnostiquer et prendre en charge ces enfants et adolescents.

Il est indispensable d'aplanir les difficultés sociales rencontrées par les enfants dysphoriques clairement diagnostiqués.

Après un diagnostique soigné, leur identité réelle doit pouvoir être reconnue, et leur naissance, corrigée, avec une légalisation des démarches, et une simplification administrative.

Le GSDS n'a pas vocation à prendre en compte les troubles de l'identité de genre, dans la mesure où ils ne relèvent pas d'une particularité biologique présente dès avant la naissance,et s'appuie sur le diagnostique différentiel qui sera mis en place par les médecins spécialisés des groupes de référence.

Cependant, dans la mesure où ces troubles ne sont parfois pas distinguables de la dysphorie de sexuation chez l'enfant jeune, nous ne laissons pas les parents concernés sans aide, dans la mesure où ils doivent avec leur enfant bénéficier temporairement, du diagnostique des mêmes centres de référence, avec un suivi tout autant attentif de la part des pédopsychiatres.

La différence résidera dans le fait que lorsque le diagnostique indiquera un trouble du genre et non pas une dysphorie de sexuation, cette association ne sera plus adaptée pour traiter des soins que recevront leur enfant, essentiellement psychologiques, dans un parcours médical traditionnel, cela se comprend aisément.

 

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Articles 1 à 3 des statuts du GSDS

 

ARTICLE PREMIER – NOM – Association ayant pour nom : GSDS

Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1
er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, ayant pour titre : Groupe de Soutien à la Dysphorie de Sexuation ( GSDS ) regroupant, Parents, Enfants, personnes concernées.

 

ARTICLE 2 – OBJET

 

Cette association a pour objet de favoriser le traitement précoce de la Dysphorie de Sexuation, comme une particularité liée à la sexuation fœtale du cerveau. Informer, par tout moyen mis à sa disposition, les familles, les généralistes, les pédiatres, le système éducatif, les autorités, sur les réalités de la dysphorie entre sexuation du cerveau, et sexuation des gonades déclarées à la naissance. Favoriser la mise en place médicale, en centre de référence, d'équipes d'endocrinologie de l'enfant et de l'adolescent, de pédo-psychiatres et de psychologues, spécialement formés pour diagnostiquer et prendre en charge ces enfants et adolescents. Contribuer à une simplification des démarches visant à aplanir les difficultés sociales rencontrées par les enfants 'DS' clairement diagnostiqués. Veiller à l'amélioration de la prise en charge chirurgicale et l'amélioration des techniques, dans le but d'un meilleur respect du sexe vécu, en se rapprochant d'un vécu sexuel 'normal'.


ARTICLE 3 - BUTS

Elle a pour but d'accueillir et informer les parents, les enfants, les adolescents, les jeunes adultes, concernés.

 

Un objectif prioritaire du GSDS sera de pousser les autorités à la mise en place d'un protocole particulier aux enfants et adolescents, comme cela se fait par exemple aux Pays-Bas, de favoriser la mise en place médicale, en centre de référence, d'équipes d'endocrinologie de l'enfant et de l'adolescent, de pédopsychiatres et de psychologues, spécialement formés pour diagnostiquer et prendre en charge ces enfants et adolescents.

 

Le GSDS a pour but conjoint de contribuer à une simplification des démarches visant à aplanir les difficultés sociales rencontrées par les enfants 'DS' clairement diagnostiqués. En effet, tout doit être fait pour que ces enfants puissent voir, après un diagnostique soigné, leur identité réelle reconnue, et leur naissance, corrigée, avec une légalisation des démarches, et une simplification administrative.

 

Le GSDS veillera à l'amélioration de la prise en charge chirurgicale et l'amélioration des techniques dans le but d'un meilleur respect du sexe vécu en se rapprochant d'un vécu sexuel 'normal'.

 

Le GSDS n'a pas pour but de prendre en compte les troubles de l'identité de genre, et s'appuie sur le diagnostique différentiel qui sera mis en place par les médecins spécialisés des groupes de référence.

Le GSDS n'a pas pour but le prosélytisme de l'opération de réassignation sexuelle, qui doit être réservée aux seules personnes pour qui un diagnostique médical de dysphorie de sexuation, justifie ce type de prise en charge exceptionnel. La chirurgie de réassignation est un traitement médical, et ne peut en aucun cas être un style de vie ou un choix social ou esthétique.

 



05/06/2014
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